Show simple item record

dc.contributor.authorGregório, Amélie
dc.date.accessioned2023-03-10T16:25:21Z
dc.date.available2023-03-10T16:25:21Z
dc.date.issued2020
dc.identifierONIX_20230310_9782729712174_108
dc.identifier.issn2968-7780
dc.identifier.urihttps://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/98366
dc.languageFrench
dc.relation.ispartofseriesThéâtre et société
dc.subject.classificationthema EDItEUR::A The Arts::AT Performing arts::ATD Theatre studiesen_US
dc.subject.othercolonisation
dc.subject.otherpostcolonial studies
dc.subject.otherindigène
dc.subject.otherconquête de l’Algérie
dc.subject.otherAlgérie
dc.subject.otherExposition coloniale
dc.subject.otherLe Simoun
dc.subject.otherAbd-el-Kader
dc.subject.otherthéâtre
dc.subject.othercolonialisme
dc.subject.otheranticolonialisme
dc.subject.otherimpérialisme
dc.subject.otherorientalisme
dc.subject.otherexotisme
dc.subject.otherhistoire de l’art
dc.subject.othersabir
dc.subject.otherHenri-René Lenormand
dc.title« L’Arabe » colonisé dans le théâtre français
dc.title.alternativeDe la conquête de l’Algérie aux grandes expositions coloniales (1830-1931)
dc.typebook
oapen.abstract.otherlanguageNégligé par la critique postcoloniale, le théâtre, dans ses formes variées, et notamment populaires, a pourtant largement accompagné la colonisation française de l’Afrique du Nord et la formation d’un esprit colonial, depuis le débarquement des troupes françaises en Algérie en 1830 jusqu’au grand rendez-vous impérialiste que fut l’Exposition coloniale de 1931. S’appuyant sur des préjugés existants, les renforçant, en forgeant parfois de nouveaux pour les besoins du spectacle, les pièces écrites à l’époque coloniale ont donné de multiples représentations de la figure de « l’Arabe » : bestial, fourbe, idiot ou « exotique », dans tous les cas inférieur au « Blanc », cet « autre » apparaît toujours comme un être dominé. À partir de l’analyse historique, sociologique et esthétique d’un répertoire méconnu de près de deux cents pièces, mais aussi de leur mise en scène et de leur réception par la critique et des publics divers, Amélie Gregório interroge la transformation des représentations en discours, sans perdre de vue les enjeux proprement artistiques et sans prétendre a priori que toute pièce représentant des « Arabes » est obligatoirement, et de façon univoque, idéologique.
oapen.identifier.doi10.4000/books.pul.48849
oapen.relation.isPublishedByc47ff397-2d6d-4119-b65a-6c60a61bf1ae
oapen.relation.isbn9782729712174
oapen.relation.isbn9782729712167
oapen.pages360
oapen.place.publicationLyon


Files in this item

FilesSizeFormatView

There are no files associated with this item.

This item appears in the following Collection(s)

Show simple item record