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dc.contributor.authorVincent, Alexandre
dc.date.accessioned2022-07-01T15:51:43Z
dc.date.available2022-07-01T15:51:43Z
dc.date.issued2016
dc.identifierONIX_20220701_9782728311644_637
dc.identifier.urihttps://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/85161
dc.languageFrench
dc.relation.ispartofseriesBibliothèque des Écoles françaises d’Athènes et de Rome
dc.subject.classificationthema EDItEUR::A The Arts::AT Performing arts::ATF Films, cinemaen_US
dc.subject.classificationthema EDItEUR::A The Arts::AT Performing arts::ATJ Televisionen_US
dc.subject.othermusique
dc.subject.otheraspect social
dc.subject.otherRome ancienne
dc.titleJouer pour la cité
dc.title.alternativeHistoire sociale et politique des musiciens professionnels de l’Occident romain
dc.typebook
oapen.abstract.otherlanguageLes cités romaines étaient tout sauf muettes. Chaque jour des musiciens les parcouraient lors de processions religieuses, d’appels au rassemblement, de procès, tandis que l’amphithéâtre résonnait aux sons d’instruments puissants. Sur le champ de bataille ou dans les camps militaires, il revenait à des soldats instrumentistes de transmettre les ordres et les informations. Omniprésentes, les sonorités musicales rythmaient donc le quotidien et creusaient peu à peu les sillons d’un substrat mémoriel collectif. En considérant la musique comme une pratique sociale plus qu’un art, le présent ouvrage propose de jeter un nouveau regard sur le sujet : le contenu musical importe moins que son écho social. Dans quelles circonstances jouait-on de la musique et avec quels effets ? pour et par qui ? L’existence de sonorités civiques, c’est-à-dire jouées au nom de la cité, lance l’étude sur les traces des interactions entre musique et politique. L’analyse du corpus épigraphique des musiciens professionnels de l’Occident romain, rassemblé pour la première fois, éclaire ce que signifiait alors jouer pour la cité. Les modalités de ce service musical, militaire comme civil, sont traquées au croisement des sources. Elles soulignent, à travers ses effets économiques et sociaux, la mise en place, dans les premières décennies du Principat, d’un dialogue dynamique entre les autorités romaines et les artisans du son. L’ouvrage apporte ainsi finalement un nouvel élément à la compréhension du principat d’Auguste : les sons y furent aussi des armes politiques.
oapen.identifier.doi10.4000/books.efr.38707
oapen.relation.isPublishedBy23042c48-76c4-4f96-899b-369fb0c12fc7
oapen.relation.isbn9782728311644
oapen.relation.isbn9782728311637
oapen.pages472
oapen.place.publicationRome


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