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dc.contributor.authorGrenet, Mathieu
dc.date.accessioned2022-07-01T15:51:27Z
dc.date.available2022-07-01T15:51:27Z
dc.date.issued2016
dc.identifierONIX_20220701_9782869585324_625
dc.identifier.urihttps://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/85149
dc.languageFrench
dc.relation.ispartofseriesMondes méditerranéens et balkaniques (MMB)
dc.subject.classificationthema EDItEUR::N History and Archaeology::NH History::NHD European historyen_US
dc.subject.othermigration
dc.subject.otherdiaspora
dc.subject.otherVenise
dc.subject.otherLivourne
dc.subject.otherMarseille
dc.subject.otheridentité culturelle
dc.subject.otherépoque moderne
dc.titleLa fabrique communautaire
dc.title.alternativeLes Grecs à Venise, Livourne et Marseille : v. 1770-v. 1840
dc.typebook
oapen.abstract.otherlanguageAvec les Juifs et les Arméniens, les Grecs constituent l’une des trois diasporas dites « classiques » de la période moderne : implantés sur l’ensemble du pourtour méditerranéen voire au-delà, ils investissent en particulier la plupart des grandes villes portuaires d’Europe méridionale, où ils s’adonnent au grand négoce et à la navigation comme au petit commerce et à l’artisanat. Comment cette présence s’organise-t-elle au quotidien ? Comment investit-elle l’espace urbain, quels sont ses modes d’inscription sociale et quelles identités (sociales, ethniques et confessionnelles) sécrète-t-elle ? Cette vaste enquête est ici envisagée dans une dimension comparatiste, à partir de trois terrains – Venise, Livourne et Marseille – à la fois distincts et étroitement connectés, au cours du demi-siècle précédant la guerre d’indépendance grecque (1821-1830) et la naissance de l’État néohellénique. À rebours des lectures traditionnellement homogénéisantes et inclusives des groupes étrangers dans la ville moderne, cet ouvrage s’attache à mettre en évidence le caractère complexe et souvent conflictuel des différentes stratégies d’affirmation et de négociation du fait communautaire grec en diaspora. Véritable laboratoire de définitions concurrentes de la « grécité », l’expérience communautaire grecque au tournant des XVIIIeet XIXesiècles constitue ainsi le creuset d’un complexe processus de formation identitaire à l’aube de l’ère des nationalismes.
oapen.identifier.doi10.4000/books.efa.9000
oapen.relation.isPublishedByc0500ec3-d996-49ed-bcb9-ffc849be92fa
oapen.relation.isbn9782869585324
oapen.relation.isbn9782869582842
oapen.pages456
oapen.place.publicationAthènes


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