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dc.contributor.editorValleau, Annick
dc.date.accessioned2022-03-18T04:02:17Z
dc.date.available2022-03-18T04:02:17Z
dc.date.issued2022
dc.date.submitted2022-03-17T10:31:42Z
dc.identifierONIX_20220317_9782875744913_12
dc.identifierhttps://library.oapen.org/handle/20.500.12657/53416
dc.identifier.urihttps://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/79476
dc.description.abstractL’après-11 septembre 2001 marque le développement d’une nouvelle approche globale et inclusive de l’antiterrorisme consistant à mobiliser des instruments coercitifs pour réprimer et non-coercitifs pour prévenir. La société civile se situe alors au cœur de politiques étatiques qui la perçoivent, d’une part, comme une menace sécuritaire, et d’autre part, comme une pourvoyeuse de sécurité œuvrant à la prévention des idéologies terroristes. Comment se décline ce paradoxe au sein de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) et de l’un de ses États membres fondateurs, la Russie ? Fondée quelques mois avant les attentats du 11 septembre, l’OCS déclare, au nom de ses valeurs fondamentales regroupées sous l’« esprit de Shanghai », sa lutte contre les « trois fléaux » : le terrorisme, l’extrémisme et le séparatisme. C’est ainsi qu’elle dessine sa propre voie visant à renforcer une nouvelle vision sécuritaire commune tout en défendant la souveraineté et stabilité de ses États membres. En Russie, l’auteure a exploré les ajustements de la lutte contre les « trois fléaux » à l’échelle nationale. Pour ce faire, elle s’est intéressée à l’action d’associations mobilisées par l’État dans la prévention du terrorisme et aux projets citoyens nés pour en contester les « répressions politiques ». Issu d’une thèse de doctorat, ce livre interroge l’interprétation, au sein de l’administration russe, du terrorisme comme une « idéologie de la violence » et en souligne le lien avec la doctrine des « trois fléaux ». En écoutant la voix de multiples acteurs rencontrés sur le terrain, le lecteur est ainsi invité à découvrir dans quelle mesure lutter contre le terrorisme au nom de l’« esprit de Shanghai » produit des effets surprenants, voire tragiques, sur les acteurs de la société civile en Russie.
dc.languageFrench
dc.relation.ispartofseriesNew International Insights/Nouveaux Regards sur l’International
dc.rightsopen access
dc.subject.classificationthema EDItEUR::J Society and Social Sciences::JP Politics and government::JPS International relations::JPSL Geopoliticsen_US
dc.subject.classificationthema EDItEUR::G Reference, Information and Interdisciplinary subjects::GT Interdisciplinary studies::GTU Peace studies and conflict resolutionen_US
dc.subject.classificationthema EDItEUR::J Society and Social Sciences::JP Politics and government::JPQ Central / national / federal governmenten_US
dc.subject.classificationthema EDItEUR::J Society and Social Sciences::JP Politics and government::JPV Political control and freedomsen_US
dc.subject.otherAnnick
dc.subject.othercivile
dc.subject.othercontre
dc.subject.otheresprit
dc.subject.otherlutte
dc.subject.otherLutter
dc.subject.otherparadoxes
dc.subject.otherRussie
dc.subject.otherShanghai
dc.subject.othersociété
dc.subject.otherterrorisme
dc.subject.otherValleau
dc.titleLutter contre le terrorisme au nom de l’« esprit de Shanghai »
dc.title.alternativeQuels paradoxes pour la société civile en Russie ?
dc.typebook
oapen.identifier.doi10.3726/b19312
oapen.relation.isPublishedByf6ba26fb-2881-41c1-848a-f9628b869216
oapen.relation.isbn9782875744913
oapen.relation.isbn9782875744920
oapen.relation.isbn9782875744906
oapen.pages332
oapen.place.publicationBern
dc.seriesnumber15
dc.abstractotherlanguageL’après-11 septembre 2001 marque le développement d’une nouvelle approche globale et inclusive de l’antiterrorisme consistant à mobiliser des instruments coercitifs pour réprimer et non-coercitifs pour prévenir. La société civile se situe alors au cœur de politiques étatiques qui la perçoivent, d’une part, comme une menace sécuritaire, et d’autre part, comme une pourvoyeuse de sécurité œuvrant à la prévention des idéologies terroristes. Comment se décline ce paradoxe au sein de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) et de l’un de ses États membres fondateurs, la Russie ? Fondée quelques mois avant les attentats du 11 septembre, l’OCS déclare, au nom de ses valeurs fondamentales regroupées sous l’« esprit de Shanghai », sa lutte contre les « trois fléaux » : le terrorisme, l’extrémisme et le séparatisme. C’est ainsi qu’elle dessine sa propre voie visant à renforcer une nouvelle vision sécuritaire commune tout en défendant la souveraineté et stabilité de ses États membres. En Russie, l’auteure a exploré les ajustements de la lutte contre les « trois fléaux » à l’échelle nationale. Pour ce faire, elle s’est intéressée à l’action d’associations mobilisées par l’État dans la prévention du terrorisme et aux projets citoyens nés pour en contester les « répressions politiques ». Issu d’une thèse de doctorat, ce livre interroge l’interprétation, au sein de l’administration russe, du terrorisme comme une « idéologie de la violence » et en souligne le lien avec la doctrine des « trois fléaux ». En écoutant la voix de multiples acteurs rencontrés sur le terrain, le lecteur est ainsi invité à découvrir dans quelle mesure lutter contre le terrorisme au nom de l’« esprit de Shanghai » produit des effets surprenants, voire tragiques, sur les acteurs de la société civile en Russie.


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