Le Transfrontalier
Pratiques et représentations
dc.contributor.editor | Dziub, Nikol | |
dc.date.accessioned | 2021-02-10T12:58:18Z | |
dc.date.available | 2021-02-10T12:58:18Z | |
dc.date.issued | 2020 | |
dc.date.submitted | 2021-10-13T13:52:30Z | |
dc.identifier | ONIX_20211013_9782374961316_6 | |
dc.identifier | https://library.oapen.org/handle/20.500.12657/50936 | |
dc.identifier.uri | https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/72280 | |
dc.description.abstract | In the aftermath of an epidemic that has undermined established border-crossing practices in Europe and around the world, this volume proposes to rethink the uses and representations of the border based on the following question: who makes a cross-border space, who shapes it, who makes it workable? Citizens, governments, local elected officials? Au lendemain d’une épidémie qui a mis à mal les pratiques établies de franchissement des frontières en Europe et dans le monde, ce volume propose de repenser les usages et les représentations du transfrontalier à la lumière de la problématique suivante : qui fabrique le transfrontalier, qui le modèle, qui le rend viable ? Les citoyens, les gouvernements, les élus locaux ? Il n’existe pas, d’ailleurs, d’espace transfrontalier archétypal : il y a autant de pratiques du transfrontalier que de situations transfrontalières. Et il ne suffit pas de dire que le transfrontalier du Rhin Supérieur n’est pas le transfrontalier de la Grande Région Saar-Lor-Lux, ou que les usages du transfrontalier propres à la francophonie canadienne ne ressemblent guère aux pratiques du transfrontalier mises en place par l’État chinois : il faut aussi prendre en compte le fait que tout espace transfrontalier est travaillé et transformé en permanence par d’innombrables tensions politiques, économiques, commerciales, logistiques et culturelles. C’est pourquoi, pour penser théoriquement le transfrontalier, nous avons décidé de nous appuyer sur une série d’études de cas menées par des chercheurs venus d’horizons disciplinaires divers, de la littérature à la sociologie en passant par les sciences de l’information et de la communication, les sciences de l’éducation, ou encore l’archéologie. | |
dc.language | French | |
dc.rights | open access | |
dc.subject.classification | bic Book Industry Communication::R Earth sciences, geography, environment, planning::RG Geography::RGC Human geography::RGCP Political geography | |
dc.subject.classification | bic Book Industry Communication::J Society & social sciences::JP Politics & government::JPS International relations::JPSN International institutions::JPSN2 EU & European institutions | |
dc.subject.classification | bic Book Industry Communication::J Society & social sciences::JF Society & culture: general::JFF Social issues & processes::JFFN Migration, immigration & emigration | |
dc.subject.classification | bic Book Industry Communication::1 Geographical Qualifiers::1D Europe | |
dc.subject.other | Borders | |
dc.subject.other | Cross-border workers | |
dc.subject.other | European Union | |
dc.title | Le Transfrontalier | |
dc.title.alternative | Pratiques et représentations | |
dc.type | book | |
oapen.identifier.doi | 10.34929/3kg3-je31 | |
oapen.relation.isPublishedBy | 6c87d59e-1257-4e3d-8a44-5f214ad4b13f | |
oapen.relation.isPublishedBy | a2e6798e-06a6-433f-ba49-54ff4593b69f | |
oapen.relation.isbn | 9782374961316 | |
oapen.relation.isbn | 9782374961149 | |
oapen.pages | 312 | |
oapen.place.publication | Reims | |
dc.abstractotherlanguage | In the aftermath of an epidemic that has undermined established border-crossing practices in Europe and around the world, this volume proposes to rethink the uses and representations of the border based on the following question: who makes a cross-border space, who shapes it, who makes it workable? Citizens, governments, local elected officials? Au lendemain d’une épidémie qui a mis à mal les pratiques établies de franchissement des frontières en Europe et dans le monde, ce volume propose de repenser les usages et les représentations du transfrontalier à la lumière de la problématique suivante : qui fabrique le transfrontalier, qui le modèle, qui le rend viable ? Les citoyens, les gouvernements, les élus locaux ? Il n’existe pas, d’ailleurs, d’espace transfrontalier archétypal : il y a autant de pratiques du transfrontalier que de situations transfrontalières. Et il ne suffit pas de dire que le transfrontalier du Rhin Supérieur n’est pas le transfrontalier de la Grande Région Saar-Lor-Lux, ou que les usages du transfrontalier propres à la francophonie canadienne ne ressemblent guère aux pratiques du transfrontalier mises en place par l’État chinois : il faut aussi prendre en compte le fait que tout espace transfrontalier est travaillé et transformé en permanence par d’innombrables tensions politiques, économiques, commerciales, logistiques et culturelles. C’est pourquoi, pour penser théoriquement le transfrontalier, nous avons décidé de nous appuyer sur une série d’études de cas menées par des chercheurs venus d’horizons disciplinaires divers, de la littérature à la sociologie en passant par les sciences de l’information et de la communication, les sciences de l’éducation, ou encore l’archéologie. |
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